Découvrez ce qu'était vraiment le look des années 70

Le look années 70 se résume-t-il vraiment à des pattes d’eph et des teeshirts tie-dye ? Et si le véritable secret de cette décennie était ailleurs, entre la liberté totale, les excès scintillants et les accessoires improbables immortalisés par des photos Polaroid ? Préparez-vous à redécouvrir une époque où la mode osait tout – même le velours côtelé avec des paillettes, les cols pelle à tarte ou les lunettes iconiques de l’époque. Une décennie où chaque tenue incarnait une révolution : du hippie au disco en passant par le punk, les seventies c’étaient une explosion de styles, un festival de la liberté.

Les années 70 : plus qu’un look, une révolution dans le placard

Les années 70 évoquent souvent la boule à facettes, les cols pelle à tarte et cette moquette orange improbable. Pourtant, cette décennie a révolutionné la mode en affirmant « Il n’y a plus de règles dans le jeu de la mode », selon Vogue. Place aux pantalons pattes d’éléphant, robes tie-dye et Doc Martens rebelle.

Cette liberté reflétait une société en mutation : libération féminine, festivals hippies, disco déjanté et révolte punk. Jupes longues fleuries dansant sur Hendrix, pattes d’éléphant frôlant les pistes new-yorkaises – le mélange improbable du hippie, du disco et du punk incarnait l’ADN des 70’s. Un éclectisme assumé : on passait du collier de coquillages à la ceinture cloutée sans complexe.

Le hippie célébrait la nature avec robes longues brodées et Birkenstock. Le disco brillait en lurex et plateformes pailletées. Le punk, lui, transformait friperie en arme de contestation : épingles à nourrice, cuir éraflé et crêtes iroquoises.

Le résultat ? Un placard manifeste : pull tricoté main, pantalon vinyle, bottes « granny » et collier en bois, immortalisé par des photos Polaroid chères aux vintage addicts. Les années 70 nous ont appris qu’un placard devrait être un manifeste plutôt qu’un uniforme. Après tout, qui oserait aujourd’hui mixer un blouson rapiécé avec collants résille et robe fluo ? Eux, ils l’ont fait. Et c’est bien cette audace qui fait du 70’s style une source d’inspiration intemporelle.

Le style hippie : peace, love and pattes d’eph

La philosophie du « retour à la nature » dans le dressing

Imaginez un monde où le pantalon pattes d’éléphant fait office de révolution, où un simple t-shirt tie-dye suffit à proclamer votre amour du peace and love. Les années 70, héritières des mouvements contestataires des 60’s, ont fait du style hippie un véritable mode de vie. Exit le conformisme, bonjour l’originalité !

Les adeptes de ce look culte arboraient fièrement des chemises tie-dye réalisées avec amour (ou achetées dans un marché), des blouses paysannes mexicaines qui flottent au vent, des ponchos qui rappellent les pays lointains et même des vêtements militaires recyclés façon pacifiste.

Et niveau bas ? Rien de plus évasé que les pantalons pattes d’éléphant qui tourbillonnaient au rythme des festivals. Sans oublier les jeans déchirés façon « je-sors-du-combat », les jupes midi qui flirtent avec la cheville ou les robes longues qui font pâlir d’envie les prêt-à-porter actuels.

Les couleurs ? Explosives ! Des imprimés floraux qui défient la morosité, des motifs indiens qui sentent bon l’exotisme, et des teintes si vives qu’elles pourraient éblouir un arc-en-ciel. C’était l’époque où la garde-robe devenait un véritable voyage autour du monde.

Des accessoires faits main pour un look authentique

Pour parfaire ce look « je vis en harmonie avec la Terre », les hippies ont fait du détail leur marque de fabrique. Exit les bijoux clinquants, place aux accessoires faits main qui sentent bon l’artisanat et l’authenticité.

• Colliers ras-du-cou (« chokers ») et colliers de chien qui rappellent que « l’amour c’est comme un chien fidèle »
• Bijoux en éléments naturels : bois, coquillages, pierres, plumes et cuir qui sentent bon la forêt et l’océan
• Accessoires unisexes comme les bandeaux dans les cheveux façon rockeur des temps modernes, les chapeaux mous qui tombent toujours parfaitement bien, et les foulards qui flottent avec grâce
• Birkenstocks, symbole absolu du confort hippie, et les mocassins amérindiens qui font rêver d’horizons lointains, voire des pieds nus pour un retour aux sources radical

Chaque détail comptait pour incarner cette philosophie « flower power ». Même les chaussures devenaient porteuses de messages de paix, avec des sandales qui laissaient respirer l’âme (et les orteils). Parfois, un simple collier en perles rappelait que « l’important c’est d’être soi », même si cette perle avait été confectionnée pendant 3 heures devant un feu de camp.

La fièvre du disco : quand la mode s’invite sur le dancefloor

Adieu hippie peace and love. Place aux paillettes, à la sueur et aux déhanchements. Les années 70 ont eu deux visages : l’âme bohème et la folie disco. Faisons un zoom sur cette dernière, où chaque tenue semblait crier « Regarde-moi, je suis fait(e) pour briller ! ».

Briller sous la boule à facettes

Pas de place pour la discrétion. Exit les teintes sages, place au lurex, au vinyle et surtout aux paillettes, reines incontestées des boîtes de nuit. La robe cache-cœur DVF, moulante à l’avant et ouverte dans le dos, était l’indémodable de l’époque. Un classique qui a fait tourner bien des têtes, y compris celle de Farrah Fawcett. Les hot-pants (shorts en spandex) se mariaient à des hauts transparents ou des chasubles en lurex. Les jupes fendues jusqu’au ciel dévoilaient des jambes gainées… ou pas. Parce que si la liberté sexuelle était dans l’air, la liberté textile aussi, non ?

Du costume de loisir à la silhouette glamour

Les messieurs n’étaient pas en reste. Exit les cols roulés basiques, place aux chemises en satin, largement ouvertes sur un torse huilé. Le leisure suit, costume fluo ou pastel en velours côtelé, était l’équivalent 70s du jogging d’aujourd’hui : stylé tout en confort. Parfait pour alterner cocktails et pas de danse de Saturday Night Fever.

Pour les audacieux, les jumpsuits (combinaisons) en satin ou polyester brillant étaient incontournables. Rouge, or ou violet, choisissez votre couleur et devenez la vedette de la piste. Les accessoires suivaient la vague : chapeaux pailletés et platform shoes vous offraient des centimètres pour danser plus haut. Et pour les adeptes du confort, le Big Look proposait des capes fluides et pulls XXL, vous transformant en nuage fashion… idéal pour cacher vos figures de style douteuses. Parce qu’un truc est clair : les années disco n’ont jamais été avares en personnalité. Chaque tenue était une déclaration, une façon de dire « Je danse comme si personne ne regardait » – même si tout le monde regardait.

La garde-robe iconique des seventies décortiquée

Envie de transformer votre dressing en machine à remonter le temps façon 1977 ? Pas besoin de machine à voyager dans le temps, juste une paire de pattes d’eph et un peu de courage pour oser les couleurs vives. Voici votre guide de survie pour distinguer le hippie chic et le disco glam.

Entre ces deux univers, un accessoire fédérateur trône en roi incontesté : la lunette de soleil XXL. Formes rondes façon John Lennon, montures carrées façon David Bowie, ou verres colorés façon melting-pot disco, les années 70 ont donné naissance à des modèles audacieux qui ne passaient pas inaperçus. Pour bien choisir ses lunettes de soleil rétro, mieux vaut prévoir un sac à main spacieux – difficile de rentrer ces mastodontes vintage dans un mini-compagnon de soirée !

Entre le retour à la nature hippie et l’effervescence disco, les années 70 ont prouvé qu’on pouvait être à la fois écologiste dans l’âme avec son pantalon en velours et scintillant sur la piste de danse avec sa robe en lurex. Une époque où les codes vestimentaires explosaient pour laisser place à une mode aussi imprévisible qu’audacieuse, reflétant la quête d’identité et de liberté de toute une génération.

Au-delà du vêtement : la mise en beauté 70s

Les années 70, c’était l’époque où les looks osaient tout. Si les fringues dansaient entre pattes d’éléphant et cuissardes en velours, la beauté n’était pas en reste. Coiffures et maquillages devenaient des symboles de liberté. Un look 70s sans ses accessoires capillaires, c’est comme un disque vinyle sans aiguille : charmant, mais incomplet.

Rêvez de boucles Farrah Fawcett ou d’un afro rebelle : les coupes de cheveux incarnaient l’esprit d’une génération entre libération et folie disco.

Des coiffures pleines de volume et de liberté

Les années 70 ont transformé les cheveux en totems de personnalité. Exit le « cheveu sage », place à l’audace : boucles XXL, cheveux libres sous une couronne hippie, ou afro sculptural pour affirmer son identité.

• Brushing « Farrah Fawcett » : Ces boucles iconiques, façon Drôles de Dames, nécessitaient des heures de coiffage et des litres de laque pour figer la cascade.
• Coupe « shag » : Un désordre stylé, dégradé et texturé, popularisé par Jane Fonda. La preuve qu’un chaos maîtrisé pouvait être élégant.
• Cheveux longs et naturels : Le mantra hippie ? « Moins c’est plus ». Raie au milieu, bandeau tressé, et on s’habillait en fleur des champs.
• Afro : Plus qu’une coiffure, un symbole politique. Ce volume porté par le Black Power défiait les canons occidentaux et tenait toute la journée.

Un maquillage audacieux et coloré

Le maquillage 70s se divisait en deux clans : le naturel hippie (gloss discret) et le glamour disco (fards électriques, paillettes). Pas de demi-mesure.

Les adeptes du disco osaient les fards irisés (bleu, vert, violet) et l’eyeliner charbonneux façon Studio 54. Les lèvres brillaient de gloss ou de fuchs, le teint imitait un « retour de vacances » permanent. Certaines osaient même les paillettes sur les sourcils.

Cher, Diana Ross, Bianca Jagger : ces icônes transformaient les miroirs en scènes de show. Leur mantra ? « Pourquoi se fondre dans la masse quand on peut éblouir ?« 

Et Les Hommes ? La « Révolution Du Paon » Bat Son Plein

Exit les costumes ternes et les cravates strictes : les années 70 ont vu les hommes oser l’audace. La « Peacock Revolution » a balayé les codes de la mode masculine, prônant couleurs criardes, matières clinquantes et silhouettes excentriques. Un virage inattendu pour une décennie marquée par le rock et la contestation, où les garçons osaient mixer élégance et folie.

Les gars ont troqué leurs vestes sobres contre des chemises en satin aux cols façon « pelle à tarte », souvent agrémentées de volants ou jabots. Les tuniques ethniques et vestes Nehru, inspirées par les voyages en Inde ou au Maroc, complétaient le look d’un aventurier stylé. Ces vestes, sans revers ni épaulettes, étaient parfois cousues en tissus brodés ou ornées de perles.

• Chemises en satin : Col XXL, volants, motifs géométriques ou floraux. Un must-have pour briller sous les boules à facettes.
• Vestes Nehru : Inspirées du sous-continent indien, sans revers ni épaulettes, elles cassaient avec le formel.
• Costumes en velours côtelé : Orange vif, vert émeraude ou bordeaux, parfois en brocart pour un côté « je suis riche mais je m’en fous ».
• Col roulé + blazer : Un duo improbable devenu culte, alliant confort et élégance désinvolte avec des pattes d’eph.
• Pantalon pattes d’eph : Larges au bas, moulants aux hanches. Un hommage aux éléphants de la jungle disco. Associés à des bottines à plateforme, ils allongeaient la silhouette.

La mode masculine flirtait avec l’unisexe : vestes, pantalons et même chaussures plateformes étaient partagés entre les genres. Un symbole de liberté, même si certains portaient ces looks en riant dans leur miroir…

Le look années 70 : un héritage mode toujours vivant

Les années 70, c’est un peu comme un voyage dans le temps où la mode jouait à saute-mouton entre les tendances. Entre hippie, disco et punk, cette décennie a prouvé qu’on pouvait mélanger les genres sans se prendre la tête. Aujourd’hui, on assiste à un retour en force de cette époque, façon boomerang stylé.

Les jeans pattes d’eph’? De retour. Les robes longues imprimées fleurs? Incontournables. Les plateformes façon Farrah Fawcett? On en redemande. Même Jane Birkin, avec son panier en osier et son tee-shirt blanc, reste une référence pour les adeptes du « je-fais-semblant-de-ne-pas-chercher-l’effort ».

La mode actuelle puise dans les 70 pour leur côté rebelle et écolo-friendly. Le vintage est roi, et les friperies regorgent de pièces uniques en velours côtelé ou en coton bio. Exit les matières synthétiques du passé, place aux versions durables !

Alors, pourquoi ce revival? Parce que les 70s, c’était l’époque où la mode devenait un langage. Chaque tenue criait « liberté » ou chuchotait « je m’en-foutisme ». Un esprit que les jeunes générations recyclent à leur sauce, entre nostalgie et conscience écologique.

En résumé, pour être 100% seventies aujourd’hui, oubliez le pantalon, adoptez l’attitude. Comme le disait une certaine icône : « Le reste, c’est juste du tissu… mais avec un peu de paillettes, c’est mieux. » 🌟

Les années 70, c’était le règne de la liberté mode : entre hippie bohème, disco étincelant et révolution paonne des hommes, chaque tenue clamait un élan de rébellion et d’audace. Si aujourd’hui le velours côtelé et les pattes d’eph reviennent en force, souvenons-nous : comme le disait Farrah Fawcett, sans l’attitude, le pantalon reste juste… un pantalon.

FAQ

Comment s’habiller pour une soirée années 70 ?

Enfilez votre pantalon patte d’éléphant (le tissu doit balayer le sol, hein, on ne rigole pas avec la traîne), agrémentez le tout d’un haut en lurex scintillant ou d’une chemise à col pelle à tarte qui menace de vous étrangler si vous bougez trop. Pour les audacieux(se), une robe moulante en paillettes avec une fente jusqu’à la hanche et un sourire carnassier façon Studio 54. N’oubliez pas les accessoires : lunettes rondes façon Woodstock, collier façon « bijou de grand-mère récupéré dans un vide-grenier », et éventail en plumes pour vous rafraîchir entre deux danses endiablées. La touche finale ? Une paire de sabots en bois pour trébucher élégamment sur la moquette orange fluo.

Que dois-je porter à une fête des années 70 ?

Jetez un œil dans le dressing de votre grand-tante, mais sans en abuser non plus. Pour un look réussi, osez le combo combinaison-paillettes + veste en velours côtelé. Pour les moins téméraires, un pull-over à col roulé rentré dans un pantalon évasé taille haute fera l’affaire. Et pour les nostalgiques de Farrah Fawcett, une chemise à jabot ouverte jusqu’au nombril (on restera poli) fera hurler de joie les fans de Saturday Night Fever. En accessoires, misez sur une ceinture cloutée ou une paire de lunettes miroir pour vous faire remarquer sans vous ruiner… ou presque.

Quel était le style vestimentaire dans les années 1970 ?

Le style des années 70 ? Une joyeuse pagaille où tout était permis. Entre le hippie peace and love en tenue de forêt enchantée (robes longues, motifs floraux, ponchos et sandales de randonnée revisitée) et le disco façon miroir aux mille facettes (sequins, satin, jupes fendues), on oscillait entre retour à la nature et défi de la piste de danse. Sans oublier le mouvement punk qui a osé le jeans troué et les clous (parce que la rébellion a aussi ses codes). C’était l’époque où les hommes ont enfilé des chemises en satin brillantes avec autant de fierté que leurs acolytes féminines. Bref, une décennie où la mode a dit adieu aux règles, façon « faites ce que vous voulez, tant que c’est coloré ».

Quel était le style disco des années 70 ?

Le style disco des années 70, c’était le combat silencieux entre « étincelle » et « étincelle aussi, mais en plus moulant ». Imaginez des robes moulantes en jersey (la fameuse robe cache-cœur de Diane von Furstenberg, reine des podiums et des pistes de danse), des pantalons en spandex qui défiaient les lois de l’élasticité et des hauts à tube qui vous offraient un décolleté façon plongée dans l’océan disco. Sans oublier les chaussures : plateformes, talons aiguilles ou bottes en vinyl qui reflétaient la lumière de la boule à facettes. Le maquillage, lui, n’était pas en reste : fard à paupières bleu électrique, mascara XXL et rouge à lèvres façon cerise trop mûre. Bref, le genre de look qui vous transforme en sapin de Noël, mais en bien plus sexy.

Comment s’habillent les femmes en 1970 ?

En 1970, les femmes osaient tout. Entre le look hippie façon « j’ai dormi dans une prairie et j’en suis fière » (robe longue en coton, fleurs dans les cheveux, sandales en cuir façon pèlerinage) et le style disco « regarde-moi briller », les choix étaient variés. Le pantalon patte d’éléphant, ce basique qui a fait trembler les couturiers, était porté avec une blouse paysanne mexicaine ou un débardeur en soie. Sans oublier le must-have de l’époque : le pull-over qui vous enveloppait comme une chrysalide, mais avec un col roulé qui rivalisait de volume avec une montagne de crème chantilly. Parce que les années 70, c’était aussi ça : la mode comme révolution sans frontière.

Quelles chaussures dans les années 70 ?

Les chaussures des années 70 ? Un festival de folie sur semelle. Entre les sabots en bois façon « je fais du jardinage même en boîte de nuit », les bottes « granny » qui montaient jusqu’aux genoux (parfait pour cacher les mollets épilés à la cire), et les talons compensés façon « je danse sur la piste sans me casser une jambe », il y en avait pour tous les goûts. Pour les plus rebelles, les bottines cloutées ou les baskets montantes à semelle épaisse sortaient les griffes. Et pour celles qui osaient l’originalité suprême : les socques en plastique coloré, parfaites pour patauger dans les cocktails renversés sur la piste. Bref, les pieds étaient chouchoutés comme des bijoux, sauf quand on les baladait carrément nus sur la moquette orange.

Quelles sont les couleurs des années 70 ?

Les années 70, côté couleurs, c’était le combat entre la nature et la néon. D’un côté, les teintes terreuses (marron, vert bouteille, orange brûlé) pour les adeptes du « je vis en harmonie avec mon intérieur en cours de rénovation ». De l’autre, les couleurs vives façon néon (jaune canari, rose fluo, vert criard) pour les fans de Studio 54. Entre les deux, les pastels (beige, bleu ciel, lavande) ont fait leur apparition pour les plus sages. Sans oublier le noir, roi incontesté des soirées disco et des tenues de rockeuse en devenir. Le tout, bien sûr, associé à des imprimés psychédéliques, des pois XXL ou des motifs géométriques qui vous donnaient l’impression de sortir d’un trip psychédélique… ou d’un placard oublié.

Quel est le symbole des années 70 ?

Avec tout ce qu’on a vu, vous vous demandez encore quel est le symbole des années 70 ? Mais c’est évident : la boule à facettes ! Ce bijou de pacotille, suspendu au plafond, régnait en maîtresse absolue sur les goûts. Elle reflétait cette décennie où l’excès n’était pas un défaut, mais une philosophie de vie. Derrière elle, se cachent aussi les symboles plus subtils : le pantalon patte d’éléphant (qui a fait plus de victimes que la mode hippie), les plateformes qui vous offraient 10 cm de rêve (et 10 cm de risque de chute), ou encore la frange Farrah Fawcett (qui a fait plus de ravage que la crise pétrolière). En résumé, les années 70, c’est un peu la boule à facettes : brillant, un peu kitsch, mais impossible à oublier.

Comment peut-on qualifier les années 70 ?

Les années 70 ? Un cocktail explosif de liberté, d’audace et de « je-m’en-foutisme » stylé. C’était l’époque où la mode devenait une performance artistique : un mélange de hippie peace and love, de disco glamour et de punk rebelle. Une décennie où les règles volaient en éclats, au profit d’un « faites ce que vous voulez, mais faites-le en couleurs ». On pourrait les qualifier de « révolution dans le placard », d’ »explosion de la créativité » ou de « défi lancé aux bonnes mœurs ». Mais surtout, les années 70, c’est une leçon de vie : oser, tenter, et parfois même foirer, mais toujours avec style, en chantant du ABBA à tue-tête dans son salon, en robe cache-cœur.

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Amandine Carpentier

Curieuse de naissance et passionnée d'écriture, ma forte implication dans les secteurs des loisirs et de la technologie me permet d'assurer la rédaction de contenus sur de nombreux sujets.

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